Le procureur de la République de Nancy, François Pérain, et le commissaire de police à la police judiciaire de Metz, Antoine Baudant, avaient exposé une copie des tatouages relevés sur le corps de la victime de Mont-Saint-Martin, le 23 septembre. (photo ER /Léa Didier)
Selon nos confrères de Contacto, le corps démembré retrouvé le 19 septembre en France à Mont-Saint-Martin pourrait être celui d’une jeune Portugaise vivant au Luxembourg. Le parquet a confirmé l’information, sans apporter toutefois plus de précisions.
« Il y a effectivement des indices indiquant que la victime était de nationalité portugaise et résidait au Grand-Duché », a confirmé le parquet en charge de l’affaire, en réponse à une question de Contacto. Et il a ajouté : « Pour le moment, nous ne pouvons pas aller plus loin. »
Le corps démembré de la femme avait été retrouvé le 19 septembre à Mont-Saint-Martin, non loin de la frontière luxembourgeoise, à l’arrière d’un ancien supermarché désaffecté, à proximité de la rue des Bleuets. Quatre jours plus tard, afin de pouvoir l’identifier, le procureur de la République François Pérain avait organisé un point presse au tribunal judiciaire de Nancy pour diffuser l’image de deux tatouages retrouvés sur le cadavre. L’un des tatouages portait le nom «Kiko».
Le procureur de Nancy avait aussi déclaré que la femme avait entre 20 et 35 ans. Les membres inférieurs de la victime étaient sectionnés au niveau des genoux. Ses Bras et sa tête avaient également été coupés. «Un démembrement qui n’a pas été mené sur les lieux de la découverte du corps», avait encore précisé François Perrin.
