Luxembourg
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Viraussiichtlech vun 2023 un: 34 amplaz 29 Deeg Homeoffice fir franséisch Frontalieren

Eng 117.000 Frontalieren aus Frankräich schaffen zu Lëtzebuerg.

E Freideg war déi Lëtzebuerger Finanzministesch Yuriko Backes fir eng Visitt bei hirem Amtskolleeg Bruno Le Maire zu Bercy a Frankräich. Bei dësem Treffe gouf festgehalen, datt franséisch Frontalieren an Zukunft solle 34 Deeg Homeoffice kënne maachen an dobäi keng Steieren a Frankräich musse bezuelen. Aktuell läit dës Grenz nach bei 29 Deeg. D'Ännerung soll warscheinlech vum 1. Januar 2023 u gëllen.

Eng 117.000 Frontalieren aus Frankräich schaffen zu Lëtzebuerg.

Merci @BrunoLeMaire pour l’accueil chaleureux à Bercy, la discussion constructive sur les défis auxquels 🇪🇺est confrontée et l’accord en vue d’une signature prochaine de l’augmentation du seuil de tolérance en matière fiscale pour les travailleurs frontaliers de 29 à 34 jours. 🤝 pic.twitter.com/wPulwH0pGl

— Yuriko Backes (@Yuriko_Backes) September 30, 2022

Offiziellt Schreiwes


Communiqué par : ministère des FinancesLors d'une visite de travail à Paris, Yuriko Backes, ministre des Finances, a été reçue à Bercy par son homologue Bruno Le Maire, ministre de l'Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Les ministres se sont entretenus sur les répercussions de la guerre en Ukraine sur l'économie et les défis en matière de fiscalité européenne et internationale.

Au niveau bilatéral, les ministres se sont mis d'accord sur les modalités pour augmenter le seuil de tolérance en matière fiscale de 29 à 34 jours en vue d'une signature prochaine d'un avenant à la Convention fiscale. Ainsi, les frontaliers qui résident en France et travaillent au Luxembourg peuvent désormais travailler 34 jours en dehors du Luxembourg sans être imposables en France. Il est prévu que ce nouveau seuil sera d'application à partir du 1er janvier 2023. Environ 117.000 frontaliers originaires de France travaillent au Luxembourg.

Yuriko Backes s'est montrée satisfaite : « Je remercie mon homologue français pour cet accord, très attendu par de nombreux salarié(e)s et entreprises, qui procure davantage de flexibilité notamment en matière de télétravail. »